125. Dialogue avec Dieu-Adonai
Des questions concernant la négativité, le jugement
Aimerais-tu une transmission, mon enfant bien-aimé ?
Oui, volontiers, Dieu-Adonai !
Tu m’appelles avec mon vieux nom qui m’est sacré, qui me sanctifie profondément. Je t’en remercie.
Je sais que tu as beaucoup de questions.
Oui, mais juste maintenant elles sont toutes disparues, ne plus tangibles.
(sourit) Est-ce que il me faut regarder dans ton cœur ? Dans ton sac à dos ?
Tout d’abord : cette transmission, est-ce qu’elle est publique ?
Si tu es d’accord – oui. Volontiers. Je sais que les gens attendent des réponses. Des réponses qu’ils n’entendent pas encore eux-même.
Bon, vas-y !
Ce qui m’occupe et ce que j’ai entendu aussi d’autres personnes, est la négativité très répandue dans la pensée des gens. La tendance de voir vite le mal ou même de se sentir menacé. Je les écoute et je me demande comment on pourrait les atteindre, peut-être changer, même si je me rends compte que ça ne va pas, que ce n’est pas permis.
Oui, tu mentionnes un grand thème. Laisse-nous le regarder plus précisément.
Regarde, derrière tout cela il y a la peur. Vous tous avez fait l’expérience dans cette incarnation et dans des incarnations précédentes, que vous ne suffisez pas tel que vous êtes. Avec la dualité le jugement entrait dans la vie des humains. Mais le pire est, que vous vous abattez, jugez et rendez petit vous-même. Même si beaucoup d’entre vous se montrent grands et sûr d’eux, reste toujours un petit bout de peur de ne pas être celui ou celle qu’on fait semblant d’être.
J’admets que c’est un long chemin de guérir depuis l’intérieur et d’arriver dans la confiance en Dieu. Un long chemin et je le vois.
À ce propos je me souviens d’avoir reconnu seulement récemment tout au fond, comme j’ai toujours la tendance de lutter au lieu de te confier tout, de te laisser agir par moi.
Oui, vous luttez. En fait vous luttez tout le temps. Regarde combien de fois vous utilisez ce terme : lutter contre une maladie, lutter dans la guerre, lutter contre l’aise, lutter contre le dépérissement des forêts, lutter contre la sécheresse, l’aridité… lutter pour les droits de l’Homme – vous luttez et luttez, sur tous les niveaux… Savez-vous que cette lutte vous coûte de l’énergie ? ET et qu’elle vous mène dans le jugement ? Car en luttant on peut subir une défaite, montrer des faiblesses, perdre – et puis vous continuez à lutter … ou vous résignez. Et puis Dieu entre en jeu qui n’était « pas là ». Qui vous n’a pas entendu prétendument.
Mais croyez-moi : je vous entends toujours ! Avec des yeux aimants je vous vois frétiller comme des poissons au sec…
Excuse-moi, je n’aime pas t’interrompre. Mais malgré tout ce que je sais, cette image me fait de la peine, comme tu nous regardes pendant que nous nous échinons…
Je sais bien que tu poses cette question pas seulement pour toi. Elle t’atteint juste maintenant de l’être humain collective.
Le tenez-vous pour dit : Dieu n’est pas un sadique qui s’amuse comme vous vous acharnez sur votre chemin ! Oh non ! Dieu est là pour vous rendre la main, pour vous inviter à la maison, à l’être éternel. Vous le savez.
Votre souffrance parle de votre séparation de moi. De CELA je ne peux pas vous débarrasser, ma chère, mes chers. Ce chemin retour vous devez trouver vous-même ! Chacun à sa manière, chacun à son rythme. Dieu a du temps. Et un cœur qui déborde d’amour !
Dieu vous envoie aussi des signes, des lumières et des maîtres pour vous montrer le chemin. Suivez-les jusqu’à ce que vous êtes assez forts de venir de vos propres pieds chez MOI dans le saint empire. Amen.
Est-ce que c’est bon pour aujourd’hui? Je vois que tu te fatigues.
Je te remercie de tout cœur !
Il soit donné. Allez dans la paix. Soyez la paix. Faites la paix. Avec vous et avec le monde.
Amen. Shalom.
Adonai.