117. Arlette, reine des petites étoiles
Dégagez-vous de tout attachement!
(message reçu en français)
Arlette vous salue des cieux.
Arlette, la reine des petites étoiles.
(Non, je ne suis pas une Française, mais je m’adresse à vous en français. Pourquoi pas ? Le canal en est capable de recevoir mes mots. Ça suffit.)
Bon, mon message est si simple que court : ne vous allongez pas dans la certitude de l’être matériel ! Ne vous reposez pas dans une fausse sécurité ! Je vous dis que tout peut changer d’un moment à l’autre – rien n’est sûr au monde, si ? En plus il faut éviter les attachements matériaux ainsi que les attachements psychiques, d’âme. En fait, tous les attachements, comme le Bouddha vous l’a appris il y a des centaines de siècles, même plus. En fait, les maîtres de toute région de la planète enseignent la même chose. Et éviter l’attachement est une de ces plus importantes choses.
Regardez, chers humains : nul, mais vraiment nul vous pourrez emmener le jour de votre départ. Nul. Niente. Même pas votre femme, votre mari, votre sœur bien-aimée, votre frère de cœur. Nul et personne !
Bien sûr, à l’autre côté vous serez attendus par vos proches – même de ceux-là qui sont restés là-bas. Et vous serez accompagnés par les ténèbres, le fluide des obstacles entre les sphères par les anges. Donc vous ne serez jamais vraiment seuls. Mais d’une autre manière que vous le connaissez déjà.
Le chemin vers l’indépendance de l’âme des biens matériaux et privés, voir personnels, est un chemin sacré. C’est le chemin de la vraie libération. Vous le verrez si vous entreprenez les premiers pas.
Dégagez-vous consciemment, peu à peu, de tout ce qui vous pèse ou qui prend trop de place dans votre vie. Rendez-le retour là où vous l’avez acheté. Ou offrez-le gratuitement à quelqu’un qui en a besoin ou pense en avoir besoin.
Installez du vide dans vos espaces, élargissez vos royaumes personnels! Prenez soin de vous-même, avancez avec si peu de bagage possible.
Re-con-centrez-vous à vous-même, à votre intérieur, votre noyau d’essence !
Bon, je termine ici avec les mots du Christ : « Considérez comment croissent les lis des champs : ils ne travaillent ni ne filent, cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. »
Amen.